Le défi santé au travail « Health at work challenge 2025 » remporté par les apprentis ingénieurs du Cnam en Grand Est – ITII Lorraine – pôle formation UIMM Lorraine

RÉSEAU ITII Témoignage concours et prix Femmes dans l'Industrie Lorraine

Publié le 23.06.2025

Le 11 mars 2025, une équipe d’apprentis ingénieurs du Cnam en Grand Est, en partenariat avec l’ITII de Lorraine, a remporté le « Health at work challenge 2025 » organisé par l’INRS à Paris. Découvrez les motivations, la préparation et les aspirations de ces jeunes talents.

Le choix de participer à ce challenge : Pourquoi ?

Les apprentis ingénieurs du Cnam en Grand Est ont choisi de participer au « Health at work challenge 2025 » pour plusieurs raisons. Noélie Schwab explique : « Notre référent pédagogique nous a parlé du concours, organisé par l’INRS, l’institution de référence en matière de sécurité au travail en France. C’était une opportunité unique de collaborer avec eux et de sortir des projets habituels. » Agathe Brunette ajoute : « Dès le départ, nous étions motivés par l’idée de gagner. Ce challenge représentait notre cœur de métier et nous permettait de mettre en pratique nos compétences en gestion des risques. » Simon Bajdek partage : « Pour moi, il était inconcevable de ne pas participer, sachant que l’INRS est une institution de référence. » Matilde Maurutto et Lucille Jacquemart soulignent également l’importance de cette collaboration avec l’INRS pour leur développement professionnel. Matilde précise : « L’INRS est l’organisme de référence en France pour la sécurité, c’était une opportunité de travailler avec eux. »

La sélection pour le concours s’est déroulée en plusieurs phases. Noélie Schwab raconte : « Nous avons d’abord eu une réunion d’information avec les référents pédagogiques et les encadrants de l’INRS pour connaître les consignes et les dates importantes. Ensuite, nous avons participé à une étude de cas interactive, où nous devions analyser des situations de travail et proposer des solutions. » Agathe Brunette ajoute : « Nous étions 23 équipes au départ, et après la phase de qualification, seules trois équipes ont été retenues pour la finale à Paris. » Lucille Jacquemart précise : « La finale consistait à présenter notre plan d’action de manière originale, ce qui nous a permis de montrer notre créativité et notre capacité à travailler en équipe. » Simon Bajdek conclut : « C’était la première fois que le Cnam en Grand Est participait à ce concours, et nous étions déterminés à faire bonne impression. »

 

La préparation : Un esprit d’équipe soudée

La préparation au concours a été intense et formatrice pour les apprentis ingénieurs. Noélie Schwab raconte : « Nous avons constitué nos équipes par tirage au sort pour éviter toute histoire et représenter notre école de manière mixte. » Agathe Brunette souligne l’impact de cette préparation sur l’esprit d’équipe : « Ce challenge nous a vraiment soudés. Nous avons travaillé ensemble, partagé nos compétences et renforcé nos liens. » Lucille Jacquemart ajoute : « Venir d’horizons différents a été notre force. Nous avons mélangé nos cultures et nos compétences, ce qui a enrichi notre projet. » Simon Bajdek et Matilde Maurutto confirment que cette expérience a renforcé leur cohésion et leur capacité à travailler en équipe. Simon précise : « Nous avons dû nous adapter et collaborer efficacement, ce qui a été très formateur. »

La préparation a également impliqué des sacrifices et une gestion rigoureuse du temps. Noélie Schwab explique : « Nous avons dû jongler entre nos périodes en entreprise et nos périodes à l’école pour préparer notre projet. » Agathe Brunette ajoute : « Nous avons travaillé tard le soir et les week-ends pour être prêts pour la finale. » Matilde Maurutto précise : « Nos entreprises ont été très compréhensives et nous ont libérés la veille de la finale pour que nous puissions travailler ensemble. » Lucille Jacquemart conclut : « Cette préparation intense nous a permis de développer notre esprit d’équipe et notre capacité à gérer des projets complexes. » Les apprentis ingénieurs tiennent à remercier leurs entreprises respectives pour leur soutien et leur flexibilité, qui ont été essentiels à leur succès.

 

Apprenti ingénieur : une vocation

Pour ces jeunes talents, devenir apprenti ingénieur était une évidence. Simon Bajdek partage son expérience : « Après avoir goûté à l’alternance, il était inconcevable de repartir sur de l’initiale. L’alternance nous rend opérationnels dès la sortie de diplôme. » Noélie Schwab ajoute : « L’alternance permet de ne pas faire que du scolaire, de voir ce qui se passe sur le terrain et de mettre un pied dans l’entreprise sans faire le grand saut en sortie d’études initiales. » Agathe Brunette conclut : « S’accrocher est essentiel, mais c’est faisable. L’alternance est une belle opportunité pour appliquer et apprendre sur le terrain. » Matilde Maurutto et Lucille Jacquemart partagent également leur satisfaction d’avoir choisi cette voie, soulignant l’importance de la confiance en soi et en ses coéquipiers. Matilde précise : « Il faut faire confiance à ses coéquipiers et à soi-même, c’est essentiel pour réussir. »

 

Les apprentis ingénieurs soulignent également les avantages de l’alternance. Noélie Schwab explique : « L’alternance permet de faire des rencontres professionnelles et d’élargir son réseau. » Agathe Brunette ajoute : « C’est une opportunité de mettre en pratique ce que l’on apprend à l’école et de voir concrètement les enjeux du monde professionnel. » Simon Bajdek conclut : « L’alternance nous prépare à être opérationnels dès la sortie de l’école, ce qui est un atout majeur pour notre carrière. » Lucille Jacquemart et Matilde Maurutto partagent également leur satisfaction d’avoir choisi cette voie, soulignant l’importance de la confiance en soi et en ses coéquipiers.

“« Ce challenge nous a vraiment soudés. Nous avons travaillé ensemble, partagé nos compétences et renforcé nos liens. »”

Agathe

Apprentie ingénieur au CNAM Grand Est et compétitrice